jeudi, janvier 14, 2010

jeudi, décembre 31, 2009

Bonheur d'occasion

Couper l'oignon sur la planche, mis l'huile d'olive dans la frigidaire, mener au feu bax...aspirer l'odeur, pleurer avec les oignons...sentir la bonheur de vivre.

Aller á la cours et chercher les herbes qui j'ai cultivé pendent le printemps. Le parfum des herbes à rentrer dans mon nez

J'appris avec toi ce petites choses, chercher dans nous mêmes des petits motifs pour être heureuse.

C'est avec ses pensées que je désire commencer bien le nouvelle année.

mercredi, juillet 23, 2008

Jamais assez loin

Cette vieille valise qui vit près de ma porte,
Égratignée de toutes nos aventures,
Avec ses étiquettes des pays qu'on transporte,
Dessinant le parcours de notre histoire.

Chaque nuit dans mon insomnie sauvage,
C'est comme si je l'entendais chuchoter.
Comme si elle me parlait avec tes mots
Devenus sourds tellement qu'ils sont usés.

Tous les trains,
Tous les bateaux,
Tous les avions
Ne m'emmèneront
Jamais assez loin.

Je veux laisser mon cœur
Je veux laisser mon cœur
Je veux laisser mon cœur voler

â l'âge que j'ai, je veux voyager léger.
Aucune amarre pour m'empêcher de partir.
Rien à déclarer et rien pour m'alourdir.
Comme cette vieille valise remplie de souvenirs.

Tous les trains,
Tous les bateaux,
Tous les avions
Ne m'emmèneront
Jamais assez loin.

Je veux laisser mon cœur
Je veux laisser mon cœur
Je veux laisser mon cœur voler

Tous les trains,
Tous les bateaux,
Tous les avions
Ne m'emmèneront
Jamais assez loin.
Jamais assez loin.

(Paroles: Louise Forestier, Zachary Richard. Musique: Zachary Richard 2000)

samedi, mai 31, 2008

C'était l'hiver

Elle disait: "J'ai déjà trop marché
Mon coeur est déjà trop lourd de secrets
Trop lourd de peines"
Elle disait: "Je ne continue plus
Ce qui m'attend, je l'ai déjà vécu
C'est plus la peine"

Elle disait que vivre était cruel
Elle ne croyait plus au soleil
Ni aux silences des églises
Même mes sourires lui faisaient peur
C'était l'hiver dans le fond de son coeur

...

(Francis Cabrel)

vendredi, février 01, 2008

« Ce que la chenille appelle la fin du monde le Maitre l'appelle un papillon »*

Quelques fois nous avons l’impression d’être une chenille perdue dans une monde hostile devant notre fragilité extrême. Dans ce moment là nous cherchons dan nôtre âme la beauté d’être vivant et habiter dans un monde qui est peut être hostile mais est aussi pleine d’opportunités.

Que cherchons nous dans ce monde ? Être heureux c’est la meilleur réponse.

La métamorphose de dépasser les moments que déplaît nous transforme en beaux papillons. Cette transformation nous amène à un niveau plus élevé de notre existence.


*Richard Bach

jeudi, novembre 01, 2007

Londres je me souviens

Londres je me souviens


Londres je me souviens de mes rêves d'enfance quand je marchais sur tes rues et avenues.

Londres je me souviens de tes hautes maisons, pleines de grandes fenêtres et des grandes portes.

Londres je me souviens de ton après-midi gris, de tes ponts de pierre.

Londres je me souviens de ta grande horloge, le Big Ben.



Je me souviens de l'éducation de tes gens, de la politesse de chaque personne qui se promène sur les rues.

Je me souviens de Scotland Yard, la police la plus polie du monde.

Je me souviens de tes écrivans, de ses romans, des ses contes et de ses histoires.

Londres je me souviens.


Les Contes de Dublin de Joyce. Je me souviens.

Les contes de Charles Dickens. Je me souviens.

Des Cantiques de Noël. Je me souviens.

De la transformation d'un homme amer en "bon ami". Je me souviens.


Londres je me souviens.

Londres je me souviens de Agatha Christie et ses histoires. Je me souviens.

Je ne sais pas Pourquoi pas Évans?

Londres je me souviens que Poirot résout trois énigmes. Londres je me souviens.



(Mais Londres, je ne voudrais pas me souvenir que ta police connue comme la plus polie du monde a tué un brésilien dans le métro.

C'était une énigme pour moi qu'une telle chose se soit passée chez toi, oh, Londres!

Londres de mes rêves d'enfance. La désillusion et l'a tristesse ont rempli mon coeur!

Londres de mes histoires de mort et mystère! La mort est arrivé à quelqu'un de mon pays, le Brésil!

Londres je me souviens.

Je me souviens de ta justice. La justice est arrivée!)